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Donnez un tournant à votre carrière grâce à l’anglais en moins de 6 mois

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Pour que l’anglais ne soit plus un frein mais un accélérateur pour avancer dans votre vie.

Formation anglais adultes Angers Mauges sur Loire

Vous en avez marre de galérer en anglais.

Vous vous dîtes:

« J’ai peur de me tromper »

Vous n’osez pas parler, vous avez peut d’être jugé·e ou moqué·e. Vous vous cachez derrière vos collègues et évitez à tout prix d’avoir à vous exprimer devant les autres.

« Je n’ai pas beaucoup de temps pour apprendre l’anglais »

Vous avez un agenda bien rempli, sans compter votre vie de famille ou vos activités perso. Vous ne savez pas comment vous y prendre de façon efficace.

« Je galère, c’est compliqué de communiquer »

Formuler des phrases est fastidieux. Vous avez besoin de temps pour réfléchir avant de parler, vous faîtes des phrases à rallonge et les mots se perdent dans d’interminables « Euuuuh…. ».

« ça me freine dans ma carrière »

Vous êtes dans une impasse. Si vous n’améliorez pas votre niveau en anglais, vous allez rester bloqué dans une situation qui ne vous convient pas. Vous êtes trop jeune pour vous ennuyer !

« J’ai un besoin urgent d’améliorer mon anglais »

Vous ne supportez plus de stagner. Vous avez eu un déclic et êtes décidé·e à agir maintenant. Vous voulez mettre en place des automatismes actionnables rapidement.

« Je dépends des autres, c’est dur à assumer »

Vous êtes de nature volontaire et indépendant·e, ça ne vous ressemble pas de demander de l’aide en permanence. ça vous met un coup au moral – et à votre égo.

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La méthode qui va changer votre façon de communiquer en anglais

Mes clients se libèrent d’un frein au quotidien et mettent un coup d’accélérateur à leur vie professionnelle.

1) Libérez-vous d’un poids au quotidien.

Je vous mets en confiance pour que vous osiez parler sans peur d’être jugé·e et que vous développiez votre aisance à l’oral.
On travaille ensemble sur des situations concrètes que vous vivez ou serez amené·e à vivre avec vos interlocuteurs étrangers. Grâce à ma méthode, vous devenez indépendant·e dans votre communication en anglais. Vous n’avez plus à vous cacher derrière vos collègues !

2) Augmentez votre revenu

Nous fixons des objectifs clairs en amont de la formation et travaillons ensemble pour que l’anglais devienne un accélérateur dans vos projets professionnels.
En mettant systématiquement en pratique le contenu de la formation, l’anglais n’est plus un obstacle et vous pouvez obtenir le poste dont vous rêviez ou l’augmentation que vous attendiez depuis longtemps.

3) Vivez pleinement vos échanges professionnels

Ma solution cible vos besoins spécifiques et vous permet d’améliorer significativement votre communication avec vos interlocuteurs étrangers.
Les réunions et les rendez-vous clients ne vous font plus peur ! Vous prenez plaisir à y aller et profitez de ces moments qui deviennent des instants privilégiés dans vos journées.

Je prends rendez-vous

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Une offre unique. Un prix personnalisé.

Apprendre l’anglais est un long process. Je vous apporte une méthodologie qui a fait ses preuves. Basée sur les techniques d’acquisition d’une langue maternelle, elle vous facilitera la vie et vous aidera à avancer. En moins de 6 mois vous aurez un anglais plus fluide et des échanges optimisés. En prenant du plaisir.

Vous travaillez à l’international et avez besoin d’être plus à l’aise en anglais pour faciliter vos échanges avec vos interlocuteurs étrangers?
Vous êtes prêt·e à vous investir pendant plusieurs mois, à raison de 2h à 3h par semaine?
Vous pouvez vous libérer 1h30 par semaine en journée pour des sessions en face à face ou en visio?

Voici ce que je propose:

  • Accompagnement 1 : 1
  • En face à face en entreprise ou chez vous, ou en visio.
  • Ressources personnalisées accessibles sur Google Drive
  • Rapport de formation + plan d’action
  • Support WhatsApp + mail
  • Prix et durée en fonction de vos besoins et objectifs
  • En option: Accès à la Plateforme de E-learning Global Exam
Parler anglais au travail

Focus sur les questions que vous pouvez vous poser

En combien de temps puis-je espérer avoir des résultats ?

En vous investissant lors des sessions hebdomadaires d’1h30 et en ajoutant un peu de travail personnel (1h/semaine), vous verrez les premiers résultats dès 4 mois (20H de formation). Plus vous investirez du temps et augmenterez la durée de votre formation, plus les progès seront visibles et durables.

Est-ce que j’ai des garanties de résultat ?

Les résultats ne sont garantis que si vous mettez en pratique ce qui est vu lors des sessions.

Quel est le format des sessions d’accompagnement ?

Les sessions hebdomadaires individuelles durent 1h30 et peuvent se dérouler en face à face (en entreprise ou chez vous) ou en visio.

Quelle est la durée minimum de l’accompagnement ? Pourquoi ?

La durée minimum de l’accompagnement est de 20H. En dessus de cette durée, le objectifs mis en place en amont de la formation ne peuvent être atteints et les progrès ne sont pas suffisament visibles ni durables.

Un paiement en plusieurs fois est-il possible ?

Oui, un paiement en 2 fois est possible (30% en amont, et 70% en fin de formation).

La formation peut-elle être financée via mon CPF ?

Oui, la formation peut être financée via votre CPF. Dans ce cas, le passage du test Toeic ou Linguaskill est obligatoire et la durée du test est décomptée du nombre d’heures prévues dans l’accompagnement (1h pour le test Toeic et 2h pour le test Linguaskill).

Prêt·e à vous lancer ?

Je prends rendez-vous

Vous hésitez ?

Jetez un oeil au site internet de Forlango 😊

Vous hésitez encore ?

Mes avis Google vous décideront à me faire confiance !

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Être acteur de sa formation: mode d’emploi

Être acteur de sa formation

J’aime que mes apprenants soient acteurs de leur formation. ça veut dire quoi exactement, être acteur de sa formation ? Pour moi, ça veut dire ne pas attendre sagement que le Savoir vienne à vous, que vous avez un rôle à jouer. Voici quelques pistes que vous pouvez suivre.

Être acteur de sa formation

Pendant les sessions en face à face ou à distance :

– Vous participez activement aux conversations et aux activités. C’est un échange. Pas une lecture ou un monologue.

– Vous co-construisez le contenu en proposant des thématiques que vous souhaitez aborder ou qui vous posent problème.

Être acteur de sa formation

Et entre les sessions, vous pouvez :

– Prendre la parole – même brièvement – lors de réunions en anglais plutôt que de simplement écouter sans intervenir. Cela vous évite de passer à côté d’une info essentielle ou de ne pas obtenir la réponse à une question – que vous n’avez pas posée.

– Prendre le téléphone et appeler vos clients/fournisseurs anglophones et mettre en pratique ce qu’on a travaillé ensemble.

– Aller chercher dans votre boîte mail les messages qui vous ont posé problème, et me les montrer afin qu’on les améliore ensemble. Cela vous aidera pour vos prochains mails.

– Faire le travail personnel demandé.

– Lire des livres, magasines, articles en anglais.

– Regarder vos films et séries en VO.

– Echanger en ligne avec un(e) « Language partner ».

Être acteur de sa formation

⚠Spoiler : Je ne transfère dans votre cerveau mes connaissances et mes compétences en anglais avec une clé USB.

Je modélise, vous montre le chemin, vous donne les outils, les clés.

C’est à vous de vous approprier ces compétences.

En les utilisant.

En les réutilisant.

Encore et encore.

En étant acteur de votre formation, en vous engageant, la formation vous est plus profitable.

A l’inverse, si vous êtes passif, vous n’allez pas apprendre grand-chose, et vous aurez sans doute perdu votre temps (et votre argent).

Bonne nouvelle : selon le nouveau baromètre de la formation et de l’emploi CentreInffo en partenariat avec le CSA, près de 8 actifs sur 10 considèrent que c’est à eux d’être acteurs de leur propre parcours de formation.

Si vous voulez être acteur de votre formation en anglais, et faire de l’anglais un atout profesionnel, je serais ravie d’échanger avec vous !

N’hésitez pas à me contacter 😊

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4 erreurs fréquentes en anglais

4 erreurs fréquentes en anglais - Forlango

Lors de mes sessions de formation en anglais, j’entends souvent les mêmes erreurs venant de mes apprenants, donc je me dis qu’un article regroupant quelques erreurs parmi les plus fréquentes pourrait être utile ! Voici 4 erreurs que vous pourrez peut-être éviter après l’avoir lu.

4 erreurs fréquentes en anglais

1. « currently » ou « actually » ?

C’est l’erreur que j’entends le plus ! Mes apprenants utilisent trèès souvent le mot « actually ». Problème: le mot qu’il ou elle veut en fait dire est « currently ».

Quelle est la différence ?

➡ « Actually » est un synonyme de « In fact ».

On utilise cet adverbe pour corriger ce que quelqu’un a dit.

« – You’re leaving on Monday, right ?

– Actually, I’m leaving on Tuesday . »

Ou pour souligner quelque chose de surpenant.

« He actually didn’t tell anyone he was leaving. »

➡ « Currently » est un synonyme de « Now ».

On utilise cet adverbe pour parler de quelque chose d’actuel (d’où la confusion si on a tendance à penser en français)

« I’m currently working on the project. »

Morale de l’histoire : quand vous parlez anglais, mieux vaut éviter de penser en français ! Ça peut mener à des erreurs, et donc à de l’incompréhension chez votre interlocuteur anglophone.

4 erreurs fréquentes en anglais

2. « Discuss » ou « Talk about » ?

Beaucoup de mes stagiaires utilisent souvent le verbe « discuss » quand ils ou elles me parlent de leurs réunions.

Ils l’utilisent tellement qu’ils ne savent pas quand utiliser « talk about »

Alors, quelle est la différence ?

➡ « Discuss » est assez formel.

On utilise ce verbe lors d’une réunion ou d’un échange avec un manager.

« I’d like to discuss the project with the team. »

➡ « Talk about » est plus informel.

On l’utilise plutôt lors de conversations avec des collègues ou des partenaires avec qui on échange régulièrement, sur des sujets plus légers.

« We talked about our last holiday. »

⚠ On utilise « Discuss » seul, SANS la préposition « about ».

Alors qu’on utilise « Talk » suivi de la préposition « about ».

4 erreurs fréquentes en anglais

3. “Hold on” ou “Hang on” pour demander de patienter au téléphone ?

On peut dire les 2 ! Ces 2 verbes sont assez courants en anglais quand on veut éviter de dire “Please, wait”. Mais lequel choisir ?

➡ « Hold on » est assez formel.

On l’utilise quand on ne connaît pas la personne, quand on s’adresse à un client ou à un fournisseur, ou à un membre de la direction. Bref, quand on veut être poli.

« – Can you tell me when you’ll be able to deliver the machines ?

   – Hold on a moment, please. I’ll check with my manager. »

➡ « Hang on » est plus informel.

On utilise ce verbe avec des collègues ou des partenaires anglophones avec qui on échange régulièrement, et avec qui on a une relation plutôt détendue.

« – Are you available next Tuesday at 10 am for a video conferencing meeting ?

   – Hang on a minute, I’m checking my schedule… Yes, no problem. »

(Vous remarquez qu’avec “Hold on” on utilise “a moment”, et qu’avec “Hang on” on dira + “a minute”.)

Est-ce que c’est grave si vous les inversez et si vous dites “Hold on” à un collègue anglophone ?

Pas vraiment. Il se dira peut-être juste que vous êtes poli.

A l’inverse, si vous dites “Hang on” à un gros client ou à votre Big Boss, il (ou elle) pourra penser que vous lui manquez de respect, donc attention !

4 erreurs fréquentes en anglais

4. « Delay » ou « Lead time » ?

Lors mes sessions de formation, mes apprenants confondent aussi souvent « delay » et « lead time ».

➡ On utilise « Delay » dans une situation dans laquelle quelque chose arrive plus tard que prévu.

Typiquement, s’il y a du retard dans une livraison de produits, on parle de « delay ».

➡ Le « Lead time » est la période entre le moment où l’on passe une commande et celui où l’on reçoit les produits. Cette période inclut donc la phase de production, le transport, le contrôle qualité. En français on parle de délai de mise à disposition – d’où – encore une fois – la confusion si on a tendance à penser en français

Comme je l’ai déjà dit : quand vous parlez anglais, mieux vaut éviter de penser en français !  En plus de mener à des erreurs et à de l’incompréhension chez votre interlocuteur anglophone, ça force votre cerveau à travailler 2 fois : 1 fois en français, et 1 fois en anglais.

C’est pour ça que vous trouvez parfois exténuant de parler anglais ! Votre cerveau est juste fatigué de faire les choses 2 fois au lieu d’une !

Rendez-lui service : faîtes le moins travailler, évitez de penser en français et forcez-vous à penser directement en anglais.

Lorsque vous avez appris le français, vous n’avez pas pensé en espagnol ou en allemand, vous avez intégré les mots et les phrases et les avez utilisés quand vous en aviez besoin (pour demander un gâteau par exemple 🥯 !)

Quand vous avez un doute sur un mot ou que vous ne le connaissez pas, plutôt que de demander à votre ami Google de le traduire, demandez à un dictionnaire en anglais, comme Macmillan dictionary. Vous aurez la définition (en anglais), des synonymes, et vous aurez en prime la prononciation en cliquant sur le haut-parleur sous le mot.

Si vous pensez avoir besoin d’être accompagné pour améliorer vos compétences en anglais et transformer vos faiblesses en atout dans votre vie professionnelle, je serai ravie d’échanger avec vous !

N’hésitez pas à me contacter et à prendre rendez-vous pour un échanger téléphonique d’environ 30 minutes.

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Apprendre l’anglais et se divertir : nos 5 conseils

apprendre l'anglais et se divertir

Youhou c’est l’été! Et si vous profitiez de cette période pour améliorer votre anglais et vous divertir ? Entre amis, en famille ou même seul, vous pouvez joindre l’utile à l’agréable et apprendre tout en vous amusant. Si vous manquez d’idées, voici quelques pistes.

1. Regarder des films et séries en VO

Les films en version originale sont un moyen efficace pour améliorer votre compréhension de l’anglais. Ils permettent à votre oreille de s’habituer à la langue et à l’accent. L’important est de choisir un film que vous avez envie de voir, pour l’intrigue, les acteurs ou parce qu’on vous l’a recommandé. 

L’idéal est de le regarder sans sous-titres, ou alors avec des sous-titres en anglais. Selon votre niveau vous comprendrez plus ou moins de choses. Il se peut que vous perdiez parfois un peu le fil de l’histoire. Ce n’est pas grave. Vous retiendrez certains mots clés et vous comprendrez le sens général  du film. 

Regarder un film en VO vous permet d’enrichir votre vocabulaire et vos connaissances d’expressions en anglais. Cela fonctionne aussi avec les séries. Sur Netflix, les propositions ne manquent pas. Dans beaucoup de séries, vous entendrez l’accent américain. Pour varier les accents, il y a aussi des séries anglaises, écossaises, australiennes…

Vous pouvez aussi choisir un film que vous connaissez déjà par cœur. Revoir Titanic, Pulp Fiction ou Forrest Gump en anglais peut vous aider à assimiler de nouveaux mots et les structures de phrases. Vous les avez sûrement déjà vus, mais vous les découvrirez sous un autre angle, avec les vraies voix des acteurs ! 

Enfin, si vous débutez, les dessins-animés sont plus faciles d’accès, avec un vocabulaire plus simple. Là encore, les sous-titres en anglais peuvent vous aider. Vous pouvez aussi mettre des sous-titres en français, essayez seulement de ne pas les regarder en permanence. 

Si vraiment vous êtes perdu(e), vous pouvez mettre sur pause et demander à votre mari (ou votre femme) ce qui vient de se passer. 

A la fin du film, de la série ou du dessin animé, pour aller plus loin, n’hésitez pas à écrire un petit résumé et ce que vous avez en pensé. Vous pouvez aussi  chercher la définition de mots nouveaux dans un dictionnaire en anglais.

divertir

2. Ecouter des podcasts en anglais 

Les podcasts sont des enregistrements audios disponibles sur plusieurs plateformes (Spotify, Deezer, Apple…). Vous pouvez les écouter sur plusieurs supports : téléphone, ordinateur, tablette… Cette pratique est assez récente et permet de s’instruire sur différents sujets ! Alors pourquoi ne pas les écouter en anglais ? 

Avec ce mode de diffusion, vous pouvez apprendre où vous vous voulez et quand vous voulez : dans le train, le bus, en marchant, sur votre lit, en cuisinant… C’est le format parfait pour tous ceux qui manquent de temps !

Forlango vous conseille les podcasts suivants : 

  • Voice of America : Pour toux ceux qui souhaitent s’informer. Un podcast d’actualité en anglais qui utilise des mots simples afin de faciliter la compréhension. 
  • 6 Minute English : Un podcast de la BBC où 2 animateurs discutent de sujets d’actualité durant 6 minutes.
  • Luke’s English Podcast : Pour apprendre en riant avec un humoriste et professeur d’anglais.
  • Jump Travel Podcast: Pour les amateurs de voyage, avec Jackie – une américaine passionnée de voyages.
apprendre l'anglais et se divertir

3. Essayer de comprendre les paroles de vos chansons anglophones préférées 

Nous écoutons régulièrement de la musique anglophone, mais tout le monde n’essaie pas forcément de comprendre les paroles. Et si on mettait fin au célèbre “yaourt”, pour essayer de comprendre les couplets de nos chansons préférées ? 

La musique peut être un bon outil pour apprendre l’anglais. Elle peut vous permettre d’enrichir votre vocabulaire et – tout comme les films – habituer votre oreille à la langue.

Plus vous prêterez attention aux paroles, plus la compréhension sera facile. 

Je me souviens quand j’avais 10 ans, je piquais les CDs de ma grande sœur et je lisais les paroles en écoutant des morceaux de U2 ou Scorpions. Je ne comprenais pas tout bien sûr, mais je devinais certaines paroles, et je m’habituais à voir les structures de phrases. C’étaient mes premiers pas en anglais !

Vous pouvez retrouver facilement les paroles de chansons sur différents sites : Genius, La coccinelle…etc.

A vous maintenant d’épater vos proches en leur chantant Billie Jean de Mickael Jackson ou encore Come Together des Beatles, que vous connaîtrez par cœur ! 

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4. Lire des livres en anglais 

Lire en anglais est un des meilleurs moyens pour apprendre du nouveau vocabulaire. 

Si vous avez peur d’être perdu, ne vous inquiétez pas. Vous pourrez comprendre l’essentiel de votre lecture grâce au vocabulaire que vous possédez déjà. 

Si vous débutez, choisissez plutôt un livre jeunesse. S’il y a un mot que vous ne comprenez pas, ne vous arrêtez surtout pas. Ce mot reviendra sans doute plus tard et vous le comprendrez grâce au contexte. 

Si vraiment vous bloquez toujours, vous pouvez écrire ce mot et le rechercher une fois votre séance de lecture terminée. 

Rassurez-vous, plus les jours passeront et plus votre lecture sera spontanée et fluide. 

Si vous avez un niveau plus élevé, vous pouvez choisir un livre pour adultes qui vous attire, et pas forcément un roman. Cela peut aussi être une biographie, un livre sur le développement personnel ou un livre sur le voyage. Pour être efficace, l’apprentissage doit être un moment de plaisir ! 

Vous pouvez retrouver des suggestions de lecture dans cette vidéo de Speak English with Vanessa.

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5. Jouer à des jeux de société 

Travailler son anglais en groupe peut être un moyen efficace et drôle d’apprendre l’anglais ! Vous pouvez profiter d’une soirée en famille ou entre amis pour jouer à des jeux de sociétés en anglais. Un moment convivial et ludique. 

Il existe une grande quantité de jeux de sociétés, pour tout âge et pour toutes les préférences. Voici une sélection possible : Time’s Up, Taboo, Scrabble, Trivial Pursuit, Monopoly.

Vous pouvez trouver des jeux en anglais sur Leboncoin. Ils vous permettront de progresser. Vous pourrez vous entraider avec vos enfants. 

Il s’agit d’un très bon moyen pour faire travailler votre mémoire afin d’assimiler la langue naturellement. 

apprendre l'anglais et se divertir

Ces conseils vous permettront de progresser naturellement en anglais. Cela ne suffira pas à vous rendre complètement à l’aise ni bilingue, mais cela vous aidera à vous familiariser avec la langue.

Pour aller plus loin, il faudra les compléter soit avec une pratique régulière ou avec une formation en anglais.  

Forlango peut vous accompagner dans cette démarche. Nous proposons des formations basées sur des situations réelles de communication, qui s’éloignent des parcours scolaires classiques, qui s’adaptent à vos besoins et vous permettent de progresser naturellement.

N’hésitez pas à nous contacter !

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Les français sont nuls en anglais ? Peut-être pas !

Formation anglais adultes Angers Mauges sur Loire

Les français ont une assez mauvaise réputation quant à leur niveau d’anglais. On est peut-être moins bons que certains de nos voisins européens – notamment les allemands ou les néerlandais, mais on se débrouille peut-être mieux que ce que l’on pense !

Gros plan sur une étude Cambridge English

Selon une étude Cadremploi – Le Figaro étudiant réalisée cette année à l’occasion de la Fête de l’Anglais de Cambridge English, 5 salariés français sur 6 ont au moins un niveau Intermédiaire (B1), et seul 1 salarié sur 6 a un niveau débutant/Elémentaire (A2). C’est parmi les jeunes salariés qu’on trouve les meilleurs niveaux. Et sans surprise, le niveau des CSP+ est supérieur. Alors que les Artisans, commerçants, employés, ouvriers, professions intermédiaires ont un niveau moyen B1, les Cadres et professions supérieures ont un niveau moyen B2.

Un mauvais niveau d’anglais : source de malaise au travail

Elément important qui ressort de cette étude : un mauvais niveau d’anglais est source de malaise au travail et bloque les opportunités de progression.

Plus de la moitié des personnes interrogées se sont déjà senties mal à l’aise dans leur travail lors d’échanges à l’oral ou à l’écrit à cause d’un niveau d’anglais insuffisant. Près de la moitié n’ont pas pu postuler à un emploi. 1 personne sur 4 n’a pas pu progresser dans sa carrière.  Ces chiffres reflètent une réalité : dans un contexte de globalisation de l’économie, l’anglais est un élément clé dans le monde professionnel en France.

Qu’en est-il dans notre région des Pays de la Loire ?

Selon cette même étude, c’est en Ile de France et dans l’Est qu’on trouve les meilleurs niveaux d’anglais. Les Pays de la Loire sont dans la moyenne avec un niveau B1. A ce niveau, la personne peut prendre part sans préparation à une conversation sur des sujets de la vie quotidienne comme le travail, la famille, les loisirs et l’actualité. Elle peut articuler des expressions de manière simple et s’exprimer sur des expériences et des événements.      

Mise en perspective de cette étude  

Cette étude a été réalisée en février 2020 sur 1078 salariés abonnés à la newsletter de Cadremploi. Elle ne représente pas la totalité des salariés français et peut être mise en perspective avec les observations réalisées par les organismes de formation en langues. J’interviens en tant que formatrice en anglais auprès de salariés d’entreprises. Si certains de mes apprenants ont en effet un niveau Intermédiaire (B1), ils sont nombreux à avoir un niveau Elémentaire (A1-A2).

Ces salariés de niveau A1-A2 sont en demande pour améliorer leurs compétences en anglais, pour justement ne pas être mal à l’aise au travail et pour augmenter leurs opportunités de progression. Une demande qui est prise en compte par les services des ressources humaines, conscientes que l’amélioration des compétences en anglais de leurs salariés est un levier majeur dans le développement de leur activité. Elle leur permet de fluidifier les échanges avec leurs clients et partenaires anglophones et donc de gagner un temps précieux, tout en rendant l’atmosphère de travail plus conviviale.

Des compétences élargies, des échanges plus fluides, un gain de temps, une atmosphère de travail conviviale: voilà un tableau plutôt attrayant pour les salariés comme pour les entreprises, et l’anglais y joue un rôle clé !

©fauxels

Si vous souhaitez réaliser un test de niveau d’anglais pour vous-même ou pour vos salariés, n’hésitez pas à me contacter . Je me ferai un plaisir de vous aider à faire le point sur vos compétences.

Nous pouvons prévoir ce test de niveau par téléphone ou en visioconférence. Un moment d’échange en anglais convivial et sans engagement pour faire connaissance, qui peut aussi être l’occasion de faire le point sur vos besoins en formation.

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La confiance en soi : la clé pour apprendre l’anglais

Formation anglais adultes Angers Mauges sur Loire

En tant que formatrice en anglais, la chose que j’entends le plus régulièrement de la part de mes apprenants est : « Je suis nul » ou « Je n’ose pas parler ». Ce manque de confiance en soi agit sur eux comme une barrière pour avancer, souvent depuis des années. Apprendre à lever cette barrière est la première étape pour apprendre la langue. Une étape cruciale que chacun peut franchir, avec un peu de travail.

© Kristina Paukshtite

Le manque confiance en soi n’est pas une fatalité

A la source du manque de confiance en soi se trouve souvent une émotion : la peur. Peur du ridicule, peur de vous tromper, peur de l’échec, peur d’être jugé. Vous avez très envie d’apprendre l’anglais, mais vous avez peur de vous lancer. Vous avez peur de déranger vos interlocuteurs et de leur faire perdre leur temps. Vous remettez donc à plus tard la pratique de l’oral.

Pour faire une comparaison imagée, cette peur est un peu comme un frein à main : tant qu’elle est enclenchée, vous ne pouvez pas démarrer votre route vers l’acquisition de la langue. Si vous avez peur de parler, vous évitez autant que possible cette expérience désagréable, et manquez aussi une occasion de vous améliorer. Vous avez peur, donc vous n’osez pas parler. Vous ne parlez pas, donc vous ne progressez pas.

Mais ce manque de confiance en vous n’est pas une fatalité : c’est un défi, et si vous décidez que vous pouvez le relever, que vous pouvez retirer ce frein, alors vous aurez fait un très grand pas vers l’acquisition de la langue.

Osez parler anglais

Lorsque vous aurez décidé de relever ce défi, lorsque vous vous direz « Je peux le faire », tout sera plus fluide. Bien sûr au début il y aura des hésitations, des erreurs même, mais peu importe ! L’anglais – comme toute langue – est un outil de communication. Il est utilisé pour communiquer avec ceux qui la parlent, pour se comprendre, même avec des hésitations ou des erreurs.

Que ce soit dans un contexte professionnel ou lors d’un voyage, personne ne se moquera de vous ou vous jugera si vous vous trompez de temps ou de mot. Il ou elle constatera simplement que vous apprenez l’anglais et que vous faîtes l’effort d’essayer de communiquer avec lui/elle. Votre « French accent » aura peut-être même un certain charme ! Et puis il peut nous arriver à tous de faire des fautes de français, et cela ne nous empêche pas de nous comprendre et de communiquer.

Apprendre une langue ce n’est pas simplement mémoriser de nouvelles connaissances, c’est d’abord croire en sa capacité de le faire. En se débarrassant de ses peurs et en osant se lancer, en osant parler, les progrès sont visibles très rapidement. Souvent, le niveau de mes apprenants est supérieur à ce qu’ils pensent lorsque l’on débute une formation. Après quelques séances, ils osent parler et arrivent à communiquer ce qu’ils veulent exprimer. Les connaissances sont là. Elles sont plus ou moins développées, et attendent juste d’être utilisées.

Le secret : le travail

La confiance en soi n’est pas quelque chose que certaines personnes ont, et d’autres pas. Ce n’est pas un trait de caractère, c’est un état d’esprit qui peut être amené à évoluer. Elle se construit, se développe avec la pratique, le travail.

Beaucoup de personnes que vous observez et qui semblent très à l’aise aujourd’hui ont dû surmonter leurs difficultés pour en arriver là. La confiance en soi  évolue et elle dépend de plusieurs éléments: les expériences vécues, les compétences acquises, la reconnaissance des autres. Si personne n’a jamais valorisé ce que vous faisiez et que vous êtes toujours confronté à des situations nouvelles et stressantes, il est normal que vous n’ayez pas confiance en vous !

Gagner en confiance en soi peut prendre plus ou moins de temps selon les personnes. Pour y parvenir, l’élément-clé est donc de se dire : « même si c’est difficile, je vais y arriver!”. Ce n’est pas une confiance aveugle, elle n’est pas déconnectée de la réalité. On n’a pas confiance en soi tout le temps et dans tous les domaines. Vous n’êtes peut-être pas à l’aise en anglais, mais vous sentez sans doute très à l’aise dans une autre activité, que ce soit au travail ou à la maison.

Tout comme je suis à l’aise en anglais, mais me sens en difficulté lorsqu’il s’agit par exemple de changer un pneu. Cela ne veut pas dire que je ne peux pas changer un pneu, simplement que je n’ose pas le faire par peur de ne pas y arriver. Apprendre une langue, cela veut dire rencontrer en permanence des situations nouvelles qu’on ne maîtrise pas. C’est plus ou moins inconfortable selon les personnes.

La confiance en soi peut changer votre vie

Quand vous serez libéré de vos peurs, que vous oserez parler, vous progresserez et gagnerez encore en confiance. Vous pourrez vivre de nouvelles expériences, rencontrer des gens, échanger, communiquer plus facilement et y prendre plaisir. Cela vous permettra d’avoir de nouvelles opportunités professionnelles, de contribuer au développement de votre entreprise, ou de voyager plus facilement sans craindre la barrière de la langue.

Le travail ne sera pas terminé, vous pourrez toujours vous améliorer, enrichir votre vocabulaire, comme vous continuez chaque jour à enrichir votre vocabulaire en français. Mais vous pourrez être fier de vous et du chemin parcouru.

Inutile alors de vous comparer à vos collègues ou à vos partenaires. Il ne s’agit pas de savoir qui s’exprime le mieux en anglais, mais de savoir si vous progressez et si vous arrivez à échanger, à communiquer. Il s’agit de constater que vous avez réussi à transformer une faiblesse en quelque chose de positif, source de plaisir, qui vous fait avancer personnellement comme professionnellement.

Vous pourrez même être source d’inspiration pour votre entourage : votre famille, vos collègues, qui auront vu vos progrès et auront à leur tour envie de se lancer !

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Une seconde chance pour une seconde langue avec l’ANL

Comme beaucoup de jeunes français, vous avez étudié l’anglais pendant des années au collège et au lycée, puis pendant vos études. Mais après toutes ces années – parfois plus de 10 ans – passées à écouter vos professeurs, à répéter « Ben is in the garden », à essayer de mémoriser des listes interminables de verbes irréguliers, êtes-vous capables de communiquer – même simplement – avec des anglophones ? Pas forcément. Cet article vous présente en quoi l’Approche Neurolinguistique, issue des neurosciences, favorise l’acquisition d’une langue étrangère.

© MimiPrints

Zoom sur l’ANL

L’Approche Neurolinguistique est une méthode pédagogique innovante utilisée dans l’enseignement de langues étrangères. Elle a été conçue au Canada par Claude Germain (Département de didactique des langues, Université du Québec à Montréal) et Joan Netten (Université Mémorial de Terre-Neuve). Elle privilégie l’habileté à communiquer, à la fois à l’oral et à l’écrit, et repose notamment sur les recherches de Michel Paradis de l’Institut des sciences cognitives de l’Université du Québec à Montréal, entre 1994 et 2009.

Ce qui caractérise l’ANL est le besoin de développer de manière indépendante auprès des apprenants les deux composantes de toute communication effective. D’abord, la grammaire interne : une compétence implicite, une habileté à utiliser spontanément, à l’oral, une langue étrangère. Elle est constituée d’un réseau de connexions neuronales formées dans le cerveau grâce à l’utilisation fréquente des mêmes parcours. Ce ne sont donc pas des règles, mais des régularités de structures langagières, qui sont mémorisées à force d’être répétées. Exactement comme lorsque vous avez appris le français – votre langue maternelle. Avant de pouvoir dire « Je veux un gâteau », il vous a fallu entendre plusieurs fois la question « Tu veux un gâteau ? », puis dire « gâteau » avant de pouvoir exprimer la structure langagière complète. 

Ensuite vient la grammaire externe : un savoir explicite, conscient, sur la façon dont fonctionne une langue. Elle est apprise grâce à des explications, alors que la grammaire interne est acquise de façon non consciente, par l’utilisation de la langue dans des situations de communication authentiques. 

C’est pourquoi les programmes d’enseignement d’une langue étrangère – fondés sur la plupart des méthodes courantes – ne peuvent pas conduire à l’acquisition de la communication spontanée chez la plupart des élèves. 

 

Les 5 principes fondamentaux de l’ANL

Sans rentrer trop dans les détails, voici les 5 principes fondamentaux de l’ANL : il y a d’abord l’acquisition de la grammaire interne. Pour ça, l’enseignant ou le formateur utilise un nombre limité de structures de la langue et les réutilise avec suffisamment de fréquence pour assurer le développement de connexions neuronales dans le cerveau l’élève. Les phrases sont combinées, et la langue orale est apprise en contexte réel de conversation. 

Il y a ensuite ce qu’on appelle la littératie. Priorité est donnée à l’oral, avant la lecture et l’écriture. Les textes utilisés en lecture comme les sujets des compositions écrites portent sur le même thème et consistent à utiliser les mêmes structures d’abord développées à l’oral.  La lecture et l’écriture sont enseignées directement dans la langue cible, sans recourir à la traduction. Les stratégies utilisées sont semblables à celles qui sont utilisées dans l’enseignement de la langue maternelle. 

Autre principe fondamental : la pédagogie du projet. Afin de faire acquérir une grammaire interne, l’attention doit être portée sur le message plutôt que sur la langue, puisque la grammaire interne ne peut être acquise que de manière non consciente, c’est-à-dire, sans porter consciemment attention aux formes de la langue. Pour faciliter la création de tâches intéressantes et cognitivement exigeantes pour les élèves, le contenu pédagogique va de quelques mini-projets à un projet final. Les activités proposées requièrent la participation active des élèves, ce qui fait appel à d’autres mécanismes cérébraux nécessaires pour un apprentissage réussi de la langue. Cela permet également d’utiliser et de réutiliser les structures langagières, et d’apprendre en augmentant peu à peu le niveau de difficulté. 

Autre pilier de l’ANL – le plus important selon moi : l’utilisation de situations de communication authentiques. La capacité à communiquer avec spontanéité ne se développe qu’en recourant à des communications authentiques. En effet, avec des exercices ou avec la mémorisation de dialogues, le langage est emmagasiné dans la mémoire externe, et n’est pas suffisamment contextualisé pour être récupéré par le cerveau dans des situations de communication réelle. Dans le cadre de l’ANL, toute communication est authentique : l’enseignant ne pose pas des questions qui ne sont pas réalistes et les réponses des élèves sont toujours personnelles, et uniquement dans la langue cible. 

Dernier principe fondamental : l’interaction, élément essentiel dans le développement de la grammaire interne et de la capacité à communiquer avec spontanéité. Les interactions entre les élèves et l’enseignant sont authentiques en ce sens que les élèves expriment leurs propres pensées. 

Autres stratégies spécifiques d’enseignement 

Avec l’ANL, les élèves doivent répondre en utilisant des phrases complètes lorsqu’ils apprennent les nouvelles structures langagières, afin de faciliter la construction de leur grammaire interne et de recourir à la langue avec aisance. Pour la grammaire interne, la précision est assurée par la correction systématique par l’enseignant ou le formateur des erreurs à l’oral, et la réutilisation par l’élève des structures corrigées. C’est la correction des erreurs à l’oral qui remplace, en quelque sorte, l’enseignement des règles de grammaire pour le développement de la grammaire interne. 

La stimulation de l’écoute doit être constante. Elle remplace les exercices habituels de compréhension orale : il s’agit de « forcer les apprenants à constamment écouter ce que l’enseignant et les autres apprenants disent ». 

© Pixabay

L’ANL dans le monde

On trouve plusieurs applications de l’ANL dans le monde, notamment le programme de Français Intensif au Canada, et un programme d’apprentissage du français dans une université et dans un lycée en Chine, où il suscite beaucoup d’intérêt. Cette approche se développe aussi au Japon, à Taïwan, en Iran, au Brésil, au Mexique, en Colombie, en Belgique, et…. en France, à Angers !!

Sources : fr.wikipedia.org/wiki/Approche_neurolinguistique / Germain, C. L’approche neurolinguistique (ANL) – Foire aux questions, Longueuil : Myosotis Press, 2017. / Lyster, R. « Recasts, repetition and ambiguity in L2 classroom discourse », Studies in Second Language Acquisition, no 20, 1998.

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